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29 mars 2023 - 400 jours de cauchemar pour Olivier Vandecasteele, otage en Iran

Christophe Lamfalussy Journaliste LA LIBRE


Voilà 400 jours qu’Olivier Vandecasteele n’a plus vu, ou à peine, la lumière du jour. Arrêté le 24 février 2022 lors d’une soirée pizza chez des amis à Téhéran, il a été emmené à la prison d’Evin, puis dans un lieu tenu secret par les autorités iraniennes. L’humanitaire belge est devenu une monnaie d’échange pour Téhéran, qui réclame le retour de son diplomate Assadollah Assadi, condamné pour terrorisme en Belgique à vingt ans de prison.


Ses proches lui ont parlé le 16 mars dernier selon la procédure habituelle : un message WhatsApp la veille, la promesse d'un échange téléphonique. "Il avait les traits très gris, les yeux rouges et se plaignait de douleurs musculaires", dit son ami Olivier Vansteirtegem, qui assistait à l'entretien. La famille ne reçoit que des informations minimales sur les tractations en cours pour concrétiser l’échange des prisonniers. Le 19 mars, la Belgique et l’Iran ont procédé à l’échange des instruments de ratification du "Traité de transfèrement de personnes condamnées". Un délai de trente jours court depuis, après quoi le ministère de la Justice pourra introduire une requête de transfèrement… Une éternité pour la famille, d’autant plus que les parties ciblées lors de l’attentat fomenté par Assadi devront être averties et pourront porter l’affaire devant le tribunal de Première instance. Le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), visé dans l’attentat déjoué, a déjà annoncé qu’il allait le faire.

(...)


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Interview d'Olivier Van Steirtegem, porte-parole d'Olivier Vandecasteele

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